Découvrez Ted, l’assistant connecté de rééducation du genou
Chez Ted, nous développons un assistant connecté de rééducation du genou, votre bras-droit virtuel. Sa mission est de vous épauler dans la prise en charge de vos patients et de vous fournir des indicateurs sur leur progression. Aujourd’hui, nous allons évoquer la proprio dynamique.
Prenant la forme d’une genouillère équipée de capteurs et d’une application mobile, il fournit des biofeedbacks en temps réel au patient pour le corriger dans ses mouvements et vous livre ensuite un compte-rendu sur la séance du patient.
Nous travaillons actuellement sur une nouvelle version de l’application dont nous dévoilons petit à petit les contours au travers de cette série d’articles. Cette application est actuellement réservée à un nombre restreint de kinés en version beta-test et elle sera disponible à la vente à l’été 2019.
Le nouvel outil de proprio dynamique
Nous avons testé la proprio dynamique et nous vous avons concocté une vidéo pour illustrer le fonctionnement de ce nouvel outil.
Les règles du jeu sont simples : le patient doit aller chercher une position aléatoirement déterminée et la maintenir pendant le temps imparti avant de se voir assigner une nouvelle cible. Le patient peut choisir de valider un certain nombre de cibles le plus rapidement possible, ou alors de valider le maximum de cibles dans un temps imparti.
Retrouvez de nouvelles vidéos sur notre chaîne Youtube !
Comment faire varier la difficulté de l’exercice en fonction de l’état de santé du patient ?
L’exercice peut être modulé de nombreuses manières différentes :
- Premièrement, le choix de la difficulté détermine la taille des cibles à atteindre lors de l’exercice. Plus les cibles sont petites et plus la stabilité du patient va être requise pour maintenir la position.
- Deuxièmement, le niveau de flexion de la position de référence va beaucoup influer sur la difficulté de l’exercice. Si le patient commence à 90° de flexion par exemple, il travaillera dans un secteur articulaire très exigeant musculairement.
- Troisièmement, le choix du support peut permettre de faire énormément varier l’exercice, avec une gamme allant des premiers stades de la rééducation du patient jusqu’à la réathlétisation d’un athlète. Le niveau le plus facile de support sera en bipodal sur un sol stable tandis que le niveau ultime sera en unipodal sur un BOSU par exemple avec une position de référence exigeante (autour des 90° par exemple).
Enfin découvrez un nouvel article sur la proprioception dynamique !
Bonne rééducation avec Ted !
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